lundi 14 novembre 2022

Le Chant de la Sirène - Préserver la vulnérabilité

À l’occasion de nos présentations, pourquoi les gens vivent-ils des moments d’une intensité si élevée qu’ils arrivent difficilement à les décrire ? Ils aimeraient inventer des mots pour me les offrir.


Parce que les présentations de Musicdream ne sont pas uniquement des prestations musicales. Le but et l’intention sont de retrouver collectivement ces moments sensibles et vulnérables resserrés dans un vieux tiroir que nous avons appris à dissimuler.

Il existe une structure mystique que j’ai appris à intégrer au fil des prestations. Une mesure délicate que j’ai appris à honorer en demeurant noblement à l’écoute sur les intentions des instigateurs subtiles. Je ne sais pas comment nommer ça. C’est une énergie, un courant puissant inaltérable dans l’invisible, mais facilement friable de notre côté. On peut le briser avec une fraction de l’égo, avec un rien basé sur des intentions mal dirigés.

J’ai appris au cours des années à porter un grand respect à ma destination spirituelle que j’ai maintenant le devoir de porter lors des présentations de Musicdream dont certains moments sont remplis d’une vulnérabilité et d’une intensité inattendues ou inespérées.

Chaque chose y est à sa place et que trop légèrement modulable. J’ai appris dernièrement, à ne plus altérer prioritairement cette conception spirituelle. Dans mes orchestrations, c’est un peu la même chose. Je compose parfois les mélodies de certaines orchestrations orphelines de sa partition à l’aide des différentes pistes qu’improvise Ève. Je ne prends pas ses meilleures performances ni ses meilleures réalisations vocales. Je cueille le moment où le vulnérable et le sensible se manifestent. Il se produit au moment d’une fluidité où moi aussi, je cherche des mots que je voudrais bien inventer pour vous le décrire.

Écrire pour moi un Processus (Clef de Guérison) est une corvée qui aboutit rarement sauf quand je suis conduit dans un entonnoir serre-cœur où il m’est impossible d’en sortir tant la pression est puissante et la douleur aussi insupportable qu’un mal de dents dans l’âme qui vous donne envie de mourir. Dans ces moments mystiques, je me sens horriblement seul et abandonné. Je ne trouve pas la connexion amie pour la transcender. Rien à faire, je n’ai aucune autre avenue que de laisser défiler les mots justes, sans défaillir d’une virgule. Je ne comprends toujours pas comment peut disparaître une telle torsion au fil des mots qui se terminent. Je n’ai pourtant aucune idée de ce dont je dois écrire. Pourtant tout se dévoile en tapant sur le clavier (des lettres cette fois).



L’empiétement spirituel et la vulnérabilité






L’empiétement spirituel est un fait méconnu pour une majorité. Le chemin pour apprendre ou comprendre ce concept en dehors de son cartésien et de ses intentions dissimulées peut être très long et même parfois inaccessible pour certaines personnes. Aussi, il est de notre apprentissage en devenir, de protéger nos proches lorsqu’ils sont en situation de vulnérabilité. De devenir intransigeant au moindre signe. Laisser passer ces situations par hésitation, par incertitude ou par peur de l’action ou de la réaction à un effet boomerang dévastateur qui insuffle au final une rude initiation de courage et de dignité.



Le Chant de la Sirène


J’ai une amie qui à vu ses capacités suspendues par l’incapacité à ce qui aurait dû être son principal soutien dans ses expérimentations sous-marines. Mon amie Chantal a vécu une réelle modification structurale par des instigateurs subtils qui lui permettait de respirer sous l’eau. Pas 1 minute ou deux, mais entre 15 à 30 tant que cela lui étais possible ou autorisé. Ce qui aurait dû être protégé ne l’a pas été. Mais plutôt pratiquement anéanti par la peur et je comprends si bien ce qu’elle a vécu que j’en pleure en secret parfois (ce qui ne sera plus un secret maintenant). Les expérienceurs sont une famille et ils qui se reconnaissent entre eux.

Son livre est d’ailleurs disponible depuis le 3 novembre dernier et s’intitule : LE CHANT DE LA SIRÈNE par Chantal Goupil et fait partie de la Collection Ufologie Profonde dirigée par Jean Casault, de la maison d’édition Louise Courteau. Cliquez ICI : Ufologie profonde

Pour la page Facebook auteure de Chantal : Chantal Goupil


Mon amie Chantal aura la joie de découvrir bientôt l’orchestration « Le Chant de la Sirène » qui m’a été livrée de façon directe dans un rêve en état de semi-réveil (ce qui est extrêmement rare, car le souvenir de mes orchestrations s’évanouit au moindre réveil et est récupéré quelques semaines, mois ou années plus tard dans d’autres circonstances).

Voir : PROCESSUS, première étape


Je ne peux faire autrement. Je n’ai pas d’autre direction possible. Je n’hésiterais pas à perdre mon souffle pour lui rendre le sien. Aurais-je la Clef pour raviver ce qu'il lui est possible de retrouver ? Je le souhaite ardemment si cela est permis. La Clef de Guérison en portera sûrement l’intention. Et c’est Ève Sano-Gélinas qui a eu l’honneur de conduire les pistes vocales et à personne d’autre. Comprendre la vulnérabilité et l’honorer n’est pas donné à tous et des chemins m’ont conduit à aimer sa sensibilité plus que sa voix qui à pourtant un parfum de ciel.

L’incapacité d’accueillir l’incompréhensible est probablement ce qui cause les traumatismes les plus irréversibles dans la spontanéité de ceux qui porte des facultés bousculant trop des parties cartésiennes mal investies d’une partie de notre communauté. Devant la vulnérabilité des ces structures incompréhensibles, nous avons le devoir de devenir une force individuelle et collective. De les accepter et de les préserver de toutes nos convictions, car ils sont notre espoir de transformation à tout jamais.

Le Chant de la Sirène est une Clef de Guérison disponible sur Musicdream (lien plus bas). Comme toutes les autres Clefs de Guérison, elle ne peut être vendue et elle est disponible pour tous les abonnés.es de Musicdream.

Pour entendre la MUSIQUE et voir la VIDÉO cliquez ici : VIDÉO FACEBOOK

Pour recevoir toutes les Clefs de Guérison (pour toujours) Cliquez ICI : CLEFS


Jean-Bruno Gagnon

Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

www.musicdream.ca


dimanche 9 mai 2021

Le Chant de la Sirène - Processus d’une nouvelle mélodie empreinte la journée des mères

Nous avançons à l’entrée de ce qui est un rendez-vous à un rassemblement où nature, cohabitation, art et musique seront célébrés autant de jour que de nuit. Nous sommes arrivés à l’entrée. Je suis avec Ève et probablement Charles avec son violon mais il me semble très jeune dans cette scène car voyez-vous, je vous raconte l’état de réveil et de rêve en ce 9 mai 2021 jour des mères.



À l’accès, un gardien demande de ne pas entrer avec le violon, il le conservera dans la camionnette juste à côté. Je comprends rapidement que l’on veut éviter des concerts improvisés trop cacophoniques d’une place à l’autre. Je tente de lui expliquer que notre ami fait parti de la prestation du soir mais le gars semble embêté ne sachant trop quoi faire. Bref! Nous avançons dans ce territoire rempli de verdure, de sentiers et d’habitations. Nous sommes bien, très bien, entre le jour et la nuit.  Je perds Ève de vue qui s’évapore dans ce décor qui inspire la liberté. Je me perds moi-même et dépose dans un endroit un peu secret l’instrument que j’apportais avec moi (peut-être le violon du peut-être Charles, c’est pas claire). En repassant sur mon chemin après quelques aventures brumeuses en promenade, je ne me souviens plus où j’ai mis l’instrument. Je suis embêté et peiné.

 

Le miracle de la création

Je me réveil en semi-coma. Là, il se produit ce qui m’arrive rarement en création de nouvelles mélodies. La mélodie qui parcourait mon rêve est disponible, là dans ma tête et ma mémoire. C’est intense et magnifique. Il y’a le piano en frappe aux mesures, le violon en arpège et la voix de Ève haute en chant de sirène. Je dois refaire jouer le souvenir dans ma tête car celui-ci s’évanouira dans pas long. J’ai tendance à vouloir me rendormir, c’est facile et tentant. Je me lève déterminé à ne pas laisser passer l’occasion. Je suis loin de la musique, trop loin depuis que je fais de la vidéo.

 

Le chant de la sirène



Il y’a un mois, j’ai échangé avec Ève sur le processus de ma nouvelle complice de radio Chantal Goupil qui a partagé un rendez-vous radio suivant le mien avec Jean Casault à l’émission Zone Parallèle plutôt animé en général par Carole Lauzé :

https://969fm.ca/emissions/zone-parallele/zone-parallele-10-avril-2021


Devant ce que je lui racontais de l’histoire de Chantal, son livre à venir et son titre : Le Chant de la Sirène *  Ève me dit : Wow! Ça ferait un beau titre de musique. Bang! Il ne m’en fallait pas plus. Sur le champs, j’ai été envahi par une forte pulsion de créer quelques créations inspirées. Depuis un mois, je me dis que je vais partager tout ça à Jean et Chantal. Bon, chose que je fais aujourd’hui finalement. On n’arrête pas la création son moment venu...

* Le Chant de la Sirène paraît le 3 Novembre 2022 au Québec aux Éditions Louise Courteau dans la série Ufologie profonde que dirige Jean ici au Québec.

COLLECTION UFOLOGIE PROFONDE


Un effort généré par la volonté de la créativité

Je me lève donc. Mes sous-vêtements sont disparus. Ça urge, je n’ai pas beaucoup de temps, la mélodie s’évanouira. J’en prend de nouveaux et pas le temps de mettre autre chose. Zut! Mon clavier n’est pas branché. Je lui avais emprunté sa rallonge. Je m’en occupe tantôt, je ne dois pas perdre l’orchestration (dont les accords, l’ambiance et le Processus me font penser à Jessia-Le langage du Divin) :

https://youtu.be/C5p_y2MUabc


Et c’est tant mieux car si je n’arrive pas à la bonne note sur le piano, je risque de faire s’évanouir la majorité du contenu subtil en une seule erreur. Je saisi mon micro électronique et en voix secrète doucement, je tente de retrouver des graciles d’accords et de mélodies. J’augmente l’intensité en m’assurant de ne pas être défaussé. Je réussi assez bien, je tente le coup au piano. L’enregistrement étant sécurisé, je ne peux plus perdre le principal. Je rebranche le clavier. Je retrouve à l’aide de l’accordeur en quelle tonalité j’ai saccagé la mélodie de ma voix cette nouvelle orchestration. C’est en Fa dièse (ou sol bémol, c'est la même chose Jean). Je reconnais effectivement les accords de Jessia mais dans une autre tonalité. 

Après une pause trop longue, le médium inspiré comme aime bien le commenter Jean, se remettra sous peu en Connexion à la Création pour répondre à ce besoin vital de la communauté en manque de beauté et de paix du cœur... Question de guérison.

Un extrait à venir bientôt.

 

Jean-Bruno Gagnon

Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

www.musicdream.ca

jeudi 11 mars 2021

Une ombre sur la route

Le 14 septembre 2013 vers 10h00 du soir nous (moi et la personne que je nommerai la conductrice) avons assisté à un événement étonnant sur la route. Devant le spectaculaire de la situation, j’ai eu la vitesse d’esprit de proposé à la conductrice avec qui j’étais dans la voiture (accompagné de ces deux enfants), d’écrire en arrivant chacun de son côté avec le plus de précision possible ce que nous avons vus et vécus sans se consulter.

Nous avons vécu un certain étonnement à lire chacun de nos descriptions. Ils n’ont pas été modifiés pour essayer de les rendre concordants ou pour toutes autres intentions quelconques. Je n’aurais probablement jamais raconté publiquement cette histoire si j’aurais été seul. Un simple partage avec la conductrice m’aurait probablement suffi. Seul, j’avais la sensation vécue et le ressenti (assez fiable dans mon cas) mais pas une vision nocturne aussi valable que la conductrice. Le complément des deux et le double témoignage rend l’expérience intéressante à partager. J’ai essayé de faire un montage photo avec les moyens du bord. Ce n’est pas la bonne forme (un dragon sur le montage) mais bon. Nous pouvons quand même nous imprégner de l’effet.



L’expérience d’écrite par la conductrice

Par cette nuit fraîche de mi-septembre, de retour d’une fête entre FRELISBURG et ABERCORN un étrange phénomène se produisit. Il est environ 9 30 – 10 00 pm. Quelques minutes, pour ne pas dire secondes avant, Jean-Bruno me fait la demande de ralentir la vitesse du véhicule alors que je ne sens pas que je vais trop vite. Une remarque qui d’ailleurs me surprend étant donné que très rarement, sur une route pareille, Jean-Bruno me suggère une telle chose! J’acquiesce et ralentie, nous sommes sur une route de campagne qui serpente les vignobles de la région. C’est une nuit étoilée, mi-croissant de lune, nous voyons bien la route et les alentours. La brume est sur le point de se lever mais nous ne sommes pas encore entourés par elle.

Puis passe devant la voiture (15 pieds environs) cette chose (de la grosseur d’un chien de grosse race) mais ce n’est pas un animal, en fait cela ressemble à une ombre, elle ne se déplace pas en courant, elle glisse très rapidement à quelques centimètres du sol. Je sais que j’ai vue quelque chose. Avoir été seul je me serai dit, afin de ne pas confronter ce que j’ai vue, oh j’ai dû rêver… Mais j’ai vue quelque chose se déplacer à grande vitesse et j’ai des frissons qui me montent dans le dos, je ne peux renier. Genre de fantôme que l’on peut voir dans les films de peurs. Un ombre noir, sans matière.

Quelques secondes passent, j’ai encore les frissons sur les bras, lorsque Jean-Bruno et moi parlons de ce que nous avons vues. Oui nous nous confirmons la chose. Nous avons bien assisté à quelque chose de fantastique-inexplicable…

Ouf! J’ai le désir de faire des rencontres de IS (mondes subtils, etc.) mais lorsque le surnaturelle se passe devant ses propres yeux non pas par un intermédiaire de style : « Une amie à moi à vue telle ou telle chose ». Eh bien, l’expérience est bien différente. Ce n’était qu’une ombre de quelque chose d’inexplicable de 2-3 sec qui passe devant la voiture. J’imagine très bien une expérience d’une rencontre extra-terrestre et bien OUF! Les petits frissons doivent être exponentiels malgré le fait que je travaille à ouvrir mon cœur à n’importe quelle rencontre car je désir être dans l’accueil total à ses êtres venues d’ailleurs.

 

L’expérience d’écrite par Jean-Bruno

Nous revenions d’une réception d’un ami dans la région du Lac Champlain. Nous étions donc sur une route secondaire en direction de Sutton. Il était aux environs de 10h00 le soir. La température était d’environ 12ᵒ Celsius. Le temps était au dégagement après un matin de pluie. Il avait donc un peu de brume de temps à autre sur la route. J’étais dérangé par la vitesse de la conductrice, tout le contraire que d’habitude. C’était étrange, je craignais une collision, j’en avais presque des visions. J’ai demandé alors formellement à la conductrice de ralentir immédiatement. Nous vivons maintenant avec assez d’acceptation ces ressentis intérieurs qui sont parfois assez intense chez moi. Le ralentissement m’a déstressé et nous avons assisté avec surprise au passage d’une ombre étrange qui traversa la rue de notre gauche vers la droite dans une fluidité surprenante. Sa distance était environ de 30 à 20 pieds en avant de nous. Considérez que nous nous en approchions légèrement étant donné que nous avancions en sa direction. Pas beaucoup cependant vue sa vitesse de passage. Cette ombre avait la forme animale. Je la qualifierais d’un mélange de chien, chat, renard assez plat mais plus long. Sa traversée était légèrement oblique. Les détails surprenants :

1-) Sa vitesse et sa course rectiligne n’épousant pas les dénivellations des différentes surfaces.

2-) La forme n’avait pas de mouvement de course au niveau des pattes, elle glissait et semblait flotter. Je n’ai vu se mouvoir aucune verdure ou arbustes.

3-) Sa couleur était totalement unie de couleur noir charbon. Elle me semblait même presque en 2D tellement il n’y avait pas de contraste de couleur sur la forme (pas de poil ou de texture visible) Étant donné sa rapidité, je ne suis pas certain d’une certaine transparence malgré sa couleur noire.

J’ai ressenti une surprise, un figement presqu’un désir d’incertitude, restant en suspension sans respirer attendant que la conductrice confirme quelque chose étant donné qu’elle a meilleure vision que moi. Mise à part l’effet d’étonnement, je n’ai ressenti aucune peur (ma condition personnelle d’évolution est à prendre en considération car mon cheminement m’a conduit à être libre de ce genre de peur. Ce qui surprend encore la conductrice. Je raconterai pourquoi dans une autre expérience). Admettons donc que ce genre d’expérience donne froid dans le dos. Je sais que nous étions en voiture les fenêtres fermées mais j’ai le sentiment ou la certitude que la traversée de cette ombre ne faisait aucun bruit. Je parle du bruit physique en tant que tel (pas, sabots, etc.) car si elle émettait un son par elle-même style grognement, je n’en sais rien. 

 

Les Différences entre nos récits 

La distance : 15 pieds pour la conductrice – De 30 à 20 pieds pour Jean-Bruno

Ce n’est pas le point fort de la conductrice d’évaluer les distances en pieds. Elle m’a demandé dans le passage de la maison à combien de pieds représentait une distance de nous a une porte. Je connais l’illusion d’optique des différences de grandeur entre l’intérieure et l’extérieure.

Comme le début du passage de l’ombre nous étions immanquablement plus éloignés, j’évalue la distance à un maximum de 30pieds. J’évalue donc aussi au plus près de nous (au moment de la disparition de l’ombre dans la verdure) à environ 20 pieds. Notre vitesse devenue décroissante était environ de 55km/hr (à la suite de ma demande, nous venions de passer de 85km/hr à 55km/hr).

Légèrement oblique pour Jean-Bruno – perpendiculaire pour la conductrice

La conductrice n’a simplement pas remarqué cet élément qui pour moi est un souvenir bien remarqué. C’était un angle d’environ 15ᵒ pas plus, pratiquement perpendiculaire.

Nuit étoilée, éclairée par la lune pour la conductrice – Nuit au dégagement, un peu de brume de temps à autre pour Jean-Bruno

Je ne dis pas qu’il y avait de la brume au moment de l’expérience, je me fie à la vision et à la mémoire de la conductrice là-dessus car la nuit pour moi c’est toujours un peu brumeux. Mais il est certain que nous avons rencontré de la brume en arrivant sur la 139 direction nord près de Sutton et qu’il n’y en avait pas ou très peu à l’endroit de notre expérience.

  

Qu’elle était donc cette manifestation ? 

Mon impression est qu’il est possible qu’un chevreuil venait de traverser la route de droite à gauche (sens inverse de l’ombre) et que si nous n’avions pas ralenti, nous l’aurions percuté. Je pense donc que mon ressenti exprimé et qui a conduit à modifier notre mouvement, a également modifié notre histoire. Je pense que l’ombre de la mort accompagnait notre expérience et que cet ombre, s’est retourné en direction opposé étant donné l’intervention par une autre énergie subtile. Soit la mise en matière du ressenti. La conductrice a bien répondu à cette explication.

Avant de lui demander de ralentir, j’ai eu comme la sensation d’une collision avec un animal et que David (un des deux enfants) était en risque. Ce qui est étonnant, c’est qu’une heure auparavant, j’ai pris une photo de David (au piano dehors) et qui s’est mystérieusement retrouvé dans une bulle de lumière non visible en prenant la photo.

(Photo de David quelques heures avant l'événement)

Petit roi David, ce soir-là un ange est venu apporter sa protection. Il m'a montré un avenir possible. J'ai modifié alors notre présent et l'ombre s'est enfuit dans la forêt. Le soir sur la route, je n'ai pas osé exprimer à la conductrice la vision ou sensation que j'ai eu juste avant. La sagesse m'a guidé à ne pas créer un choque émotif superflu à la mère. Le subtil et l'intuitif sera toujours la voix de notre divinité à chacun. Nous avons le devoir de l'honorer au premier plan et de caser le cartésien dans un espace secondaire, là où est sa vraie place.


Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

samedi 14 mars 2020

Le Bonheur d’un éveil collectif




Mise à part cette phrase d’intro, vous ne trouverez pas les mot coronavirus, covid ou papier cul dans ce texte. Un congé bien mérité pour tous. Une oasis dans un désert de science médicale, de Fake news, de complots et de surmédiatisation. J’écris donc sans ressasser ces termes devenus trop fades.

Dans la version la plus simple, il y quelques années quand j’ai orchestré mon aventure avec le Lyme (pas le fruit mais le borrélia), j’ai vécu un court moment de panique en associant la marque de la cible que j’avais dans le dos avec une morsure de tique porteuse du défi de guérison. Le principal intérêt de ce texte est ce court moment de panique, de crainte ou de peur.

J’en ai pris conscience assez rapidement. Parfois, il m’arrive de faire semblant de ne pas avoir peur avec différentes stratégies. Je figure cette habitude comme une activité que nous commettons probablement tous, plus ou moins régulièrement. Ce que j’aimerais partager, c’est que sans que j’arrive à me l’avouer, j’avais peur du Lyme en me répétant consciemment ou non, que je ne me priverais pas de la forêt, que j’essaierai d’avoir une attitude lumineuse ou reconnaissante en l’abordant... Je pense que vous me comprenez.

Pourquoi cette approche a-t-elle alors réalisé la route inverse ?
Paracerque l’intention réel était de nier la peur. Avoir une intention de reconnaissance en laissant dormir la peur dans le chaud terreau de l’inconscience est une semence très efficace. C’est plate à lire. Ça choque souvent. Rassurez-vous, c’est normal et même divin cette irritation.

Le plus gros miracle que j’ai vécu avec le Lyme n’est pas la guérison sans avoir eu recours au protocole médical, ni aux antibiotiques. C’est de découvrir avec étonnement une libération d’une peur complétement dissimulée sous quelques stratégies pour la nier. Plus qu’une libération, je dirais une reconnaissance absolue bercé d’un sentiment de liberté indescriptible. Une puissance. C'est la mort de la peur du Lyme qui est survenu.

Alors qu’en est-il de la panique actuelle dans ce passage qui ressemble à un premier chaos mondial de l’ère moderne. Évidemment, les protocoles actuels ici au Québec, ne sont pas là par crainte de la mort car il n’y en a peu au final (il y a suffisamment de statistiques qui circulent en ce sens). Comprendre ou admettre que l’efficacité de la propagation est indéniable n’est pas difficile. Qu’elle soit naturelle, réelle ou fictive. Tirée de complot ou non, implantée par les médias, par des élites, par une stratégie de peur, par une fabrication d’arme biologique relâché accidentellement ou non. Tout ça importe peu. Il y a simplement quelque chose de contagieux en circulation dans l'humanité. Et ce n’est pas cette expérience d’indisposition virale et de protocoles qui est la source d’une forme de lourdeur ou d’hystérie collective. Soyons directs.

La peur de la souffrance, du manque, de la mort, de la misère, de la pénurie, l’incapacité à déceler une intention sombre, la peur de l'isolement, la perte de contrôle ou de liberté en est certainement la cause. La liste n’est surement pas complète, vous en trouverez d’autres. Bravo si c’est le cas. Soyons honnête avec nous-même. Surlignons clairement nos craintes personnelles et collectives sans craintes de les attirer. Le dévoilement ne les attire pas, c’est une fausse croyance. Car c’est encore une fois de les garder dans le terreau de l’inconscient qui demeure la meilleure méthode pour les faire germer. Alors courage, déterrons ces semences qui s’assècheront rapidement à la lumière du soleil de notre courage. C'est ce que je nous souhaite.


Un regard de compassion


Maintenant que nous sommes rendu jusqu’ici, je présume que vous surmontez assez aisément cette approche qui est probablement en résonance avec votre cheminement. Nous pouvons donc aborder un autre rebondissement. Celle de la panique pour certaines personnes qui déclenchent malgré eux, quelques conflits dans certains marchés pour certains produits. Je sais qu’en observant de chez soi sur des réseaux, des images de gens paniqués, nous déroutent un peu. Il semble y avoir autant d’observateurs ahuris que d’acteurs de ces scénarios. Au final, ce sont les mêmes personnages, mais à plus ou moins un moment de leur vie ou de leur cheminement. Cette expérience de panique est non seulement inévitable mais presque la seule qui permet d’emmagasiner la honte de ;les avoir consommé. Conduisant espérons-le à un dégoût de soi-même en insufflant au passage un désir d’une meilleure version de soi-même dans un proche avenir. Qu’une grande quantité de personnes trébuchent et touchent publiquement le point culminant de leur panique ou de leur frustration, est une grande porte qui s’ouvre enfin vers la libération d’une image trop longtemps englouti sous des décombres d’intentions parfois mal emballés.

Le droit à son moment de panique. Le droit de se dévoiler publiquement sous l’œil de plusieurs témoins et de quelques cellulaires allumés. Le démantèlement du déguisement qu’était, il n’y a pas si longtemps, le bon voisin prévenant. La honte engrangée après ces quelques expériences de panique individuelles et collectives, fera ressortir une envie de bonté réelle et insoupçonnée par l’expérienceur lui-même et qui sera une bénédiction pour notre humanité en devenir. Qui sait, les pires seront peut-être les meilleurs dans la prochaine étape à venir. Souhaitons-le.

Il arrive bien sûre de vivre des situations que nous n’avons jamais imaginé et qui nous prend par surprise. Accepter sa réaction abêtie (si c’est le cas selon notre perception) est probablement une humiliation difficile à simplement s’accorder mais elle est à mon sens, tout de même efficace en tenant compte qu’elle se dépose dans notre banque d’expériences similaires qui nous servira divinement dans pas si long. Alors l’échec n’est pas un échec. Une simple partie remise.


Une tournée dans un monde complotiste
(Vous pouvez arrêter votre lecture ici, ce qui suit n’a peut-être aucun sens évolutif pour vous)



Ça c’est intéressant. Ici ce n'est pas pour donner crédit aux exténuantes théories du complot ni pour les amoindrir. Mais allons faire une tournée là-dedans pour arrêter de rester en surface. Parce que là, je ne sais plus si nous sommes en révolution de la 5G ou à l’ascension de la 5D.
Certain se demande quel est l’intention de ce mouvement mondial. S’il s’agit bien sûre d’une mascarade orchestrée.
Peut-être la vaccination obligatoire qui se pointe comme certains l’ont déjà soulevé ? Mais ça na s’arrête pas là. Dans ce cas-ci, il est primordial d’aller plus loin. Car il est inutile de créer un tel branle-bas mondial pour une simple vaccination obligatoire.
Qu’elle est d'abord l’agenda d’une vaccination obligatoire ?

En général, dans la vision complotiste, ça se passe comme ça :


1-  Apparition d’un danger potentiel (réel ou fictif, pas important mais on est dans le complot volontairement là)
2- Diffusion des premiers cas.
3- Déni de la propagation
4-  Déclaration officielle de la Propagation
5-  Angoisse programmé et/ou involontaire
6- Protocoles progressifs
7- Protocoles éprouvants
8- Annonce d’une solution vaccinale possible
9- Annonce d’un vaccin efficace
10- Annonce d’une pénurie de vaccins (dans le but de faire élever le désir du vaccin)
11- Annonce du vaccin obligatoire.

Mais une vaccination obligatoire juste pour le trippe d’un vaccin obligatoire, ce n’est pas un but.
Que va-t-il se passer d’après vous ?
Comment vont réagir et que vont faire les anti-vaccins ?
Comment les pro-vaccins vont réagir face à la réaction des anti-vaccins ?
Comment vont être calomniés les anti-vaccins ?
Ce n’est pas le virus, ni le vaccin qui est en cause. C’est le débat sur l’obligation vaccinale. C’est un déchirement entre une philosophie de pensée contre une autre qui se prépare. Une guerre sans armes. Un déchirement imprévu. Une colère insoutenable d’un camp contre une colère insoutenable dans l’autre. Un gouvernement avec la menace d’une DPJ, d’une armée de médecins, de militaires et de policiers contre les dénaturés et dangereux anti-vaccins. Pourtant comme le dit une amie : <Mais si le vaccin est si efficace, qu’ont dont à craindre les vaccinés ?>

Ça sens pas bon ce qui approche. Je ne crains nullement le virus, ni le vaccin en tant que tel. Je ne suis pas dérouté par la réaction de panique presque violente de notre peuple ici, pas surpris en fait. Mais la guerre entre pro-vaccins et anti-vaccins sera cruel et elle le sera dans un but sombre qu’il reste à déchiffrer.
Vers où nous conduit tout ceci ?
Isoler et casser les récalcitrants ?
Une expérience d'isolement face à nous-même ou avec nos proches ?
Une évaluation du comportement de l’humanité en situation de crise ?
Préparer l’humanité à l’annonce d’une réalité extraterrestre ?
Aucun agenda mais simplement la résultante de notre création et de nos expériences ?
La réponse de dame nature face au virus qu’est devenu l’humanité ?
Tout ceci n’est que réflexion. Peut-être un ressenti.
Quelques mois nous donneront des réponses...

Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

vendredi 16 février 2018

Des larmes de bronze








Elle est comme ça Kim Boutin, elle pleure. Il y a quelques mois, elle a pleuré pour sa qualification et en même temps pour celles qu’elle a privé d’une participation olympique en les dépassants. Aux séances de qualification à Montréal, lorsqu’elle est arrivée dans le salon V.IP. où nous étions moi et Christine Boudrias, c’est en pleurant qu’elle a fait son entrée. En fait, ce que je retiens de Kim est un visage en pleurs, je ne connais que ça d’elle. De sorte que l’on a constamment envie de lui donner un câlin. Christine Boudrias est double médaillée olympique, elle aussi en patinage de vitesse. Elle est porte-parole pour Musicdream et Videodream. Nous étions là tous les deux pour voir les qualifications de Kim et aussi, parce que Christine a été invitée à faire partie du lot des anciens patineurs à être présentés au centre de la glace en compagnie des qualifiés. Juste avant de prendre la photo ici bas, (Kim à gauche et Christine à droite), j’ai senti en lui serrant la main que son parcours olympique allait être celui d’une guerrière d’apparence fragile mais voué aux plus grands événements. Quelque chose de connu en moi s’est mouvé. J’appelle ces êtres d’exception, les porteurs.


Christine a un parcours aussi courageux. Elle a remportée la médaille d’argent au relais à Lillehammer en 1994 après avoir passé près de la mort dans une compétition où Isabelle Charest lui a tranché la cuisse dans une double chute. Et, la médaille de bronze à Nagano en 1998 après avoir vu sa mère mourir d’un cancer. Ces artistes de la compétition ont parfois des parcours qui sembles supérieurs à ce qu’elles peuvent supporter dans leur apparence fragile.  

Pour Kim, je suis renversé de ces menaces dégénérées qui la prive de recevoir les appréciations qu’elle mérite sur les réseaux sociaux car il a fallu avec sagesse, fermer ses comptes. Ça reste ébranlant pour toujours. Je n’ai rien compris à cette attitude arriérée. S’il y a un peuple qui aurait pu être en indignation, s’aurait dû être le Québec pour avoir vu Marianne St-Gelais se faire disqualifier sur un faux départ dans une triple chute. Et si vraiment il faut être démesurément en rogne, ce serait logiquement envers les arbitres pour leur décision et surement pas envers les habiles patineuses qui tentent de prendre place à l’intérieurs d’une pièce de dix cents qui roule à 50 km/heure dans une zone scolaire. Le Québec n'a fait aucunes menaces ni envers l'un ou l'autre. Mieux que ça, Marianne était là pour accueillir Kim et finalement pour pleurer avec elle de sa réussite.

En 1994 Christine à chutée en plein jeux olympiques. Une touche est possible au relais et les disqualifications ont quand même permis à l’équipe de remporter la médaille d’argent que Christine a été incapable d’apprécier totalement même sur le podium. Sa chute lui revenant constamment à l’esprit. Dans la solitude de sa chambre, elle a lancé sa médaille dans le fond d’un tiroir pensant qu’elle ne la méritait pas. Jusqu’au jour où sa mère a eu la brillante idée de proposer que sa médaille, elle ne la méritait peut-être pas juste pour cette unique course mais bien pour la totalité de toutes ses courses qui l’ont conduit jusqu’à cet événement. 
Comble d’aventure, c’est justement cette médaille que c’est fait voler Christine dont le détrousseur repentant a rapporté quelques jours plus tard, rongé par une honte inavouable. Les leçons de courage pour les porteurs ne sont jamais à demi.






Christine Boudrias et Tania Vicent en 1998 à Nagano - Médaille d’argent au relais en patinage de vitesse courte piste.




Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison


mercredi 20 décembre 2017

Assister sans intervenir dans le Processus de Guérison

Je suis au resto de mon village, au pire endroit où la majorité des clients présents peuvent entendre celui qui m’accompagne dans mon repas du midi. Il débite à haute voix (le plus fort possible) une théorie ésotérique en plein milieu d’une municipalité (la mienne) aux ouvriers de pelles mécaniques, de conducteurs à 6 roues et de puisatiers. À ce moment, j’ai encore un pied dans la confection d’enseigne et de lettrage. La majorité de ces roturiers me reconnaissent et n’ont jamais entendu le mot chakra.  Je souris bêtement devant mon collègue verbomoteur en voulant à tout prix changer de sujet ou en cherchant partout ailleurs une porte de sortie. Je veux fondre de honte sur ma chaise, je suis perdu et étourdi mais on dirait que plus je cherche à m’enfuir plus mon interlocuteur est pompé d’un égo spirituel disposé à dégainer encore plus fort sur ma tour intime qui est en train de s’écrouler.

Je pars de loin. Je suis parti de là, de ce malaise à être vue comme un « zozothérique » alors que j’ai esquivé plus souvent qu’à mon tour la peur d’être pointé sournoisement à travers des rumeurs de village épuisantes. Il y en a eu du chemin depuis ce jour dans ce resto. Aujourd’hui je pourrais être celui qui débite la tour d’un jeune prétentieux qui parle de spiritualité en tout intimité quand ce n’est pas dangereux pour 5 cents mais qui n’entend jamais le coq chanter une troisième fois pour lui rappeler l’incertitude de ces convictions à temps partiel. Je serais exalté et rempli d’une douce compassion toute à la fois en voyant mon convive se tordre de honte en écoutant mes horribles propos ésotériques devant l’agglomération de ceux à qui, il a évité de dévoiler la moindre parcelle métaphysique faisant pourtant partie de ces réflexions.


Ce combat pour se donner un air scientifique et pas trop ésotérique (ou spirituel) est maintenant devenu omniprésent dans nos relations. C’est comme une maladie floue et silencieuse. Comme plusieurs l’on fait dans d’autres domaines, je connais ce laborieux chemin de l’éclosion vers sa « RÉFLEXION D’ÊTRE » pour mettre un terme définitif à ce tourment. La peur de passer pour un ésotérique, un complotiste, un souverainiste, gai, exalté, incompétent, inutile, con, retardé ou tout ce que vous voudrez, est une épée de Damoclès en permanence ancré dans la majorité du peuple d’aujourd’hui. Ça s’appelle opprimer « l’Être » au profit du paraître. Le paraître, le qu’en dira-t-on est devenu une plaie sociale dont en est profondément atteint la majorité.

Nous voyons souvent ça en ufologie vs science. Cette « involution » est bien présente aussi dans le monde des aidants de la santé alternative pris eux-mêmes avec ce genre d’inconfort plus sournois que les malaises de leurs patients. C’est présent autant dans ce domaine que dans le médical. Certains préfèrent ainsi traiter avec indignité des individus trop affirmés dans le seul but de conserver une image scientifique. Mais je sais trop bien : Qui vis par l’image périra par l’image. Ce n’est qu’une question de temps. Un simple tic-tac dans le cours d’une vie avant que tout ne s’écroule.

Je comprends aussi que l'on devient allergique aux « guérisseux scabreux » de de toutes sortes. J’aime la science. Elle a mis fin à de nombreuses ignorances dans notre monde. S’en faire un allié peut être pratique et même essentiel devant une manipulation pour créer un Buzz ou dans une exaltation collective basé sur un canular bien ou mal foutu.  C’est probablement pourquoi on discerne facilement écrit en gras sur certains fronts : « S.V.P. PLAÎT, JE VOUS EN PRIE, VOYEZ QUE JE SUIS DE RIGUEUR SCIENTIFIQUE » dans un pompage aussi solide qu’un château de carte. Ceux qui ont traversé la frontière où se trouve la « LIBERTÉ D’ÊTRE » ne font que regarder ce jeu hébété en haussant les épaules et en pointant les yeux au ciel quelques secondes. Ils se revoient il n’y a pas si longtemps (ou jadis) dans cette mascarade infernale et inutile.

Ceux qui ont eu le courage de maturer leur réflexion vers la « LIBERTÉ D’ÊTRE » n’ont pas besoin d’une façade scientifique pour exploiter leurs talents souvent nombreux. Ils ne sont pas en même temps, dans l’alternatif et d’un langage pseudo-scientifique. Ils en ont vu d’autres. Ils observent l’évolution en devenir sans broncher et sans juger tout en sachant le tordeur inévitable qui conduit ces personnes pompées d'air et inachevées à des choix désolants comme d’exclure rapidement toute personne qui leur rappelle leur malaises ou leur insuccès à réglementer l’indésirable en eux-mêmes.

Ces exclusions par peur, ce langage de politicien à tenter de proposer des beaux raisonnements vomitifs, de manipuler des situations et des mots, je les ai observés dans divers domaines. Étant Indigo et un peu autiste, je décèle rapidement les personnes qui se mentent à eux-mêmes. Ça fait comme une dissonance, un genre de frissons froids. C’est du vomitif, du mensonge pour paraître. Pour celui qui consomme encore cette habitude collante à sa personnalité, le chemin pour s’en affranchir est exténuant. Il y a quelque chose de tronqué à se donner des paramètres d’inclusion/exclusion. Ils ne doivent pas être établi en fonction de dérangements personnels et c’est malheureusement le cas la majorité du temps. Car la noblesse de se sonder intérieurement n’appartient qu’à une race encore trop rare et qui a su développer suffisamment d’amour de soi pour ne pas se laisser guider par des dérangements ou des insuccès personnels liés uniquement à l’individu pensant.


Le réel mystère de la Guérison

Pourtant, il y a justement un côté mystique à la guérison. Une vibration non mesurable qui appartient au rayonnement cosmique et la science ne sais pas ce que c’est. Elle n’arrive pas à la mesurer.

« Il y a au-delà des vibrations des trois familles de vibrations connues et explorées, une autre vibration. La première famille : les vibrations de la matière, la deuxième famille : les courants électriques et la troisième famille : les champs magnétiques. Mais il existe une quatrième famille de vibrations que nous avons baptisé : Les ondes biologiques. Elles sont les ondes à la base de la vie. Ne me demandez pas d’explication sur ce rayonnement cosmique car le plus grand savant de notre époque ne pourrait pas vous la donner. »
-          Marcel Violet

Alors la guérison n’a rien de scientifique pas plus que l’effet placebo qui est tassé de côté dans les analyses plutôt que d’être interrogé. Fuir l’essentiel d’où se trouve la solution subtile. De nos jours, les miraculés, les guérisons radicales et les guérisons spontanées sont devenues les malaises dérangeants autant pour la médecine moderne que pour l’alternatif. Un dérangement qui fait blanchir le thérapeute qui sent le spectre de l’inutilité venir hantée ses pensées et le priver de mieux paraître… Alors si vous croyez que certains thérapeutes ont de l’intérêt pour votre santé, et bien une certaine majorité ont plus d’intérêt  pour le salaire que vous leur procurez. C'est dérangeant de le mettre en mots mais aussi longtemps que nous serons plongé dans l’ignorance de nos capacités de Guérison cela les arrangera inconsciemment ou non.

Évidement la démarche vers une ressource est salutaire et même souhaitable pour engendrer la conscience de son état mais un vrai thérapeute qui mérite son dû (et il y en a), assiste sans intervenir dans le Processus de Guérison. Il accompagne son patient avec une compassion irréprochable vers le souvenir de ses capacités d’Auto-Guérison. Il ne s’approprie pas la Guérison d’autrui. Il n’est d’aucun langage pseudo-scientifique pour se prouver. Il reconnait que de l’improbable, peut émerger la Guérison. Il apprivoise même son ignorance…

La Guérison ne doit jamais être un espoir. Elle est un dû irréprochable dès que nous prenons responsabilité de notre traumatisme et la souveraineté de notre capacité à guérir.

-          Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant la capacité d’Auto-Guérison